La typographie

Publié le 28/02/2024 | Modifié le 25/01/2024

Le dessin de la typographie

La typographie Marianne a été spécialement dessinée pour répondre à des besoins d’identification, de sobriété et de lisibilité des supports de communication. Elle a été développée pour un usage exclusif par les acteurs de la sphère étatique. Son dessin fait référence au patrimoine typographique français pour les proportions : elles sont basées sur la capitale romaine pour les capitales et sur le Garamond pour les bas de casse. La construction géométrique et synthétique (ponctuation très simple et ronde) contraste avec des formes traditionnelles plus écrites (queue du /Q, /a et /g avec deux boucles...).
À noter : exclusivement en papeterie et en bureautique, l'utilisation de la typographie Arial est autorisée en substitution.
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Les graisses de la typographie

La typographie Marianne© a été déclinée en six niveaux de graisse afin de permettre un large panel d’expression.
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Le dessin de la typographie de complément

La Spectral est une typographie dont le style vient contraster avec la typographie principale Marianne©.
Son usage doit se faire avec parcimonie, en se limitant à des compositions d’informations spécifiques, secondaires ou mineures (contenus historiques, citations, traduction, etc.). Il convient de toujours privilégier l’usage de la Marianne© à la Spectral.
Conçue pour les performances à l’écran, la Spectral assure une lisibilité maximale, notamment dans les environnements difficiles.
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Les graisses de la typographie de complément

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