Qui sommes-nous
ÉDITO
« Un dialogue public-privé rénové »
Fédérer les efforts de l’État, des collectivités territoriales, de l’industrie, de la recherche et des grands opérateurs publics et privés, pour développer des solutions de sécurité efficaces et mondialement reconnues, telle est l’ambition du comité de la filière industrielle de sécurité (CoFIS) mis en place par le Premier ministre en octobre 2013.
La filière industrielle de sécurité pèse trente milliards d’euros au plan national dont 50 % sont réalisés à l’export. Cela représente 300 000 emplois marchands et près de 600 000 emplois publics.
La filière agit au sein d’un marché international très porteur qui couvre des sujets aussi divers que la protection des grandes infrastructures publiques et privées, la sécurité des transports, la gestion des frontières, le secours aux personnes, la lutte contre le terrorisme et la grande criminalité, la gestion de crise ou la cyber-sécurité.
Comme tous les comités de filière soutenus par le gouvernement, le CoFIS vise à développer la compétitivité de nos grands groupes et PME, qui occupent sur le marché de la sécurité une place de premier plan avec cependant une concurrence qui s’affermit.
À ce titre, le CoFIS s’inscrit en parfaite cohérence avec le programme des investissements d’avenir et les travaux de la Nouvelle France industrielle.
Pour autant, le CoFIS a ceci de particulier qu’il porte sur un secteur sensible, avec des enjeux forts, sur le plan stratégique (garantir notre autonomie dans les secteurs les plus critiques), mais également sociétal (proposer des solutions conciliant harmonieusement sécurité et respect de nos libertés individuelles et collectives).
C’est pour garantir cet équilibre que le Premier ministre a souhaité coordonner lui-même cette nouvelle filière.
Pour relever ce défi et conformément aux objectifs énoncés dans sa charte d’installation, le comité de la filière industrielle de sécurité a mobilisé l’ensemble des compétences publiques et privées nécessaires et articulé ses travaux selon une feuille de route précise.
Depuis deux ans beaucoup a été fait, une cartographie nationale de référence de ce marché et des acteurs a été établie, des actions coordonnées et concrètes en matière de promotion de la filière au plan européen et international ont été conduites, une première expression de besoin mutualisée a été réalisée, des démonstrateurs et plateformes technologiques associant les centres de recherche et l’industrie ont été lancés.
Il s’agit dorénavant de consolider ces acquis et pour la filière de construire collectivement les bases solides d’une politique industrielle de sécurité au service de tous ses acteurs et cela au moyen d’un dialogue public-privé rénové. Le CoFIS est l’incarnation de ce dialogue.
La filière industrielle de sécurité pèse trente milliards d’euros au plan national dont 50 % sont réalisés à l’export. Cela représente 300 000 emplois marchands et près de 600 000 emplois publics.
La filière agit au sein d’un marché international très porteur qui couvre des sujets aussi divers que la protection des grandes infrastructures publiques et privées, la sécurité des transports, la gestion des frontières, le secours aux personnes, la lutte contre le terrorisme et la grande criminalité, la gestion de crise ou la cyber-sécurité.
Comme tous les comités de filière soutenus par le gouvernement, le CoFIS vise à développer la compétitivité de nos grands groupes et PME, qui occupent sur le marché de la sécurité une place de premier plan avec cependant une concurrence qui s’affermit.
À ce titre, le CoFIS s’inscrit en parfaite cohérence avec le programme des investissements d’avenir et les travaux de la Nouvelle France industrielle.
Pour autant, le CoFIS a ceci de particulier qu’il porte sur un secteur sensible, avec des enjeux forts, sur le plan stratégique (garantir notre autonomie dans les secteurs les plus critiques), mais également sociétal (proposer des solutions conciliant harmonieusement sécurité et respect de nos libertés individuelles et collectives).
C’est pour garantir cet équilibre que le Premier ministre a souhaité coordonner lui-même cette nouvelle filière.
Pour relever ce défi et conformément aux objectifs énoncés dans sa charte d’installation, le comité de la filière industrielle de sécurité a mobilisé l’ensemble des compétences publiques et privées nécessaires et articulé ses travaux selon une feuille de route précise.
Depuis deux ans beaucoup a été fait, une cartographie nationale de référence de ce marché et des acteurs a été établie, des actions coordonnées et concrètes en matière de promotion de la filière au plan européen et international ont été conduites, une première expression de besoin mutualisée a été réalisée, des démonstrateurs et plateformes technologiques associant les centres de recherche et l’industrie ont été lancés.
Il s’agit dorénavant de consolider ces acquis et pour la filière de construire collectivement les bases solides d’une politique industrielle de sécurité au service de tous ses acteurs et cela au moyen d’un dialogue public-privé rénové. Le CoFIS est l’incarnation de ce dialogue.
Co-présidents du groupe de pilotage du CoFIS
Charte du COFIS
Notre charte approuvée et signée lors de la mise en place du comité de filière par le premier ministre le 23 octobre 2013.
Les champs de la sécurité
Répondre à des missions aussi diverses que la protection des grandes infrastructures publiques ou privées, la sécurité du transport, le secours aux personnes, la lutte contre le terrorisme et la grande criminalité, la gestion de crise ou encore la cybersécurité, telle est l’ambition du comité de la filière industrielle de sécurité (CoFIS).
La filière en mots et en chiffres
La filière de sécurité c'est :