Merci beaucoup d'être là, à cette étape à lquelle je tenais beaucoup. 

Je suis très heureux, Monsieur le maire,  de votre accueil. Je suis très touché par ce que j'ai entendu. Et même ému parce que l'acceuil  des personnes qui sont ici prouve que des personnes âgées, mais pas seulement - il y a aussi des personnes isolées ; il y a beaucoup de personnes isolées en montagne ou en moyenne montagne - ne sont plus obligées de renoncer ou de rester idolées, grâce à ce qui a été fait depuis quelques années. J'ai parlé, dans mon tout premier propos à l'l'Hôtel Matignon au moment de la passation de pouvoir, de persévérance dans certains domaines. Il y a de bonnes actions qui ont été engagées,  et on va continuer. Le service du public, le service des citoyens : c'est ça l'essence même des services publics. C'est ce que l'on vient de voir. Et ce que l'on vient de voir c'est l'État, les services de l'État, des organisations sociales, des organismes sociaux, des collectivités locales qui trouvent des locaux, paient des agents... 

C'est une forme  d'intelligence locale, d'intelligence régionale au service du public. C'est pour cela que l'on va continuer. Je parlerai un peu plus tard des déserts médicaux, que nous voulons combattre dans les villes comme dans les campagnes. J'ai visité hier les services de l'État dans une sous-préfecture - c'est une autre sorte de services pour les questions d'intégration, de naturalisation - et ma première visite était dans des services publics de santé et je vais continuer : les écoles...

Je veux que les Français sentent partout un progrès. Et le progrès passe aussi par le service public.

Merci à tous.