Interview du Premier ministre au JT de TF1

Ce contenu a été publié sous le gouvernement du Premier ministre, Manuel Valls.

Publié le 03/04/2014

Le Premier ministre était le 2 avril 2014 sur le plateau du journal télévisé de 20h de TF1, pour sa première interview depuis sa nomination.

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Visuel - Source : Photo : AFP
Source : Vidéo dailymotion intitulée 'L'interview du Premier ministre au JT de TF1'

Le Premier ministre Manuel Valls était le 2 avril 2014 sur le plateau du journal télévisé de 20h de TF1, pour sa première interview après sa nomination.

« Le président de la République a tenu à répondre au message des Français exprimé lors des élections municipales, un message de déception à l'égard de notre action, un message de colère, de crainte parfois, vis-à-vis de l'avenir » , a déclaré Manuel Valls mercredi 2 avril sur TF1.
Sur la composition du Gouvernement, annoncée mercredi 2 avril, le Premier ministre a jugé qu'il est « normal de trouver des hommes, des femmes, d'expérience, parfois aux mêmes responsabilités, parfois à d'autres » . « En deux jours, nous avons composé le Gouvernement certainement le plus resserré de la République. Un Gouvernement de combat au service des Français » , a-t-il ajouté. Le Premier ministre s'est ensuite exprimé sur les enjeux auxquels doit faire face le pays. S'il a reconnu qu'il faut « réduire les déficits de manière obligatoire » , il a précisé qu'il faut le faire « intelligemment, sans remettre en cause les services publics fondamentaux  » . Interrogé sur les pistes du Gouvernement pour baisser le chômage, Manuel Valls a cité le « pacte de responsabilité » , annoncé par le président François Hollande. « Nous allons mobiliser 20, plus 10 milliards d'euros, sans doute davantage, pour les entreprises » , a-t-il dit, en ajoutant : « mais aussi pour les salariés » , en référence au pacte de solidarité annoncé lundi soir par le chef de l'État.
Manuel Valls a surtout précisé qu'il fallait rétablir « un climat de confiance » . « Il y a de la division dans notre pays, du pessimisme, de la morosité. On peut le comprendre, on porte, nous-mêmes Français, un regard dur sur notre pays. (...) Il est temps de redonner une espérance et c'est ma tâche » , a-t-il ajouté.

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